Comme la tradition l’exige, il faudrait que je vous présente mes meilleurs vœux pour 2017. Non pas que je ne veuille sacrifier à la tradition, mais je lis ici et là que 2016 a été une année cauchemardesque, qu’il faut croiser les doigts, que 2017 ne pourra être que meilleure.
Oui, alors, mes chères et chers vous, faut-il vous rappeler que fin avril et début mai, nous aurons des élections présidentielles ? Alors qu’on veuille le mieux pour 2017, soit, mais un conseil, privilégiez quand même les quatre premiers mois de l’année…
D’un point de vue éditorial, en revanche, 2017 risque d’être prolifique. D’ici la fin du mois, j’aurai le plaisir de vous dévoiler la couverture de ma prochaine parution inédite, prévue pour la fin du mois de mars, aux éditions Pygmalion. Restez attentifs. Le manuscrit a été remis à mon éditrice de choc le 31 décembre, difficile d’être plus ponctuel.
Pour les petits nouveaux à ma liste de diffusion, sachez que j’ai commis un roman policier bien de gare, Anvers et Damnation, à l’Atelier Mosésu, il y a trois ans. Cet opus de la série de l’Embaumeur est à nouveau disponible dans toutes les bonnes librairies, et bénéficie désormais d’une couverture nationale. Parlez-en à votre libraire.
Toujours à venir chez Mosésu, non pas une nouveauté, mais la réédition d’un de mes petits chouchous, publié chez mon premier éditeur en 2011, et épuisé depuis. Je ne vous en dis pas plus pour le moment, mais des infos de première main très vite.
Enfin, au rayon chantiers en cours (oui, parce que là, je parlais de textes terminés ou réédités), deux gros dossiers m’attendent cette année : un roman à quatre mains qui devrait faire parler de lui, et le retour d’une certaine héroïne, très attendue par ses fans.
Mais du calme, on n’en est qu’au début de l’écriture.
Sans compter, je l’espère, quelques petites douceurs ici ou là, dont j’aurai le plaisir de vous entretenir tout au long de cette si merveilleuse année qui se profile.
Je vous embrasse et/ou vous en serre cinq.