Cette semaine, j’aurai l’insigne honneur d’être l’invité d’un séminaire de littérature… en Bavière. Nul n’étant prophète en son pays, Rouge armé va affronter étudiants et lecteurs bavarois (mais francophones, Dieu merci !), dans le cadre d’ateliers d’écriture, de traduction, et de lectures. Autant vous dire que je suis dans mes kleine souliers.
Non que je craigne de parler en public, voire dans une langue qui n’est pas la mienne, c’est surtout que pour la première fois, mon roman va être confronté à l’avis et à la réception d’un public allemand. Imaginez la situation inverse, et l’arrivée d’un romancier germain qui viendrait vous présenter un livre sur, par exemple, l’occupation française en Afrique du Nord.
Suis-je donc légitime pour parler de l’Histoire de ce pays ? Premiers éléments de réponse cette semaine.
Et comme je doute que les frontaliers de mes contacts se taperont le déplacement nach Erlangen, j’en profite pour rappeler que le week-end suivant (26 et 27 novembre), je serai au salon du livre de Colmar.
Bis dann !