Cela fait une semaine que je propose en téléchargement gratuit deux de mes romans, parmi lesquels Manhattan Carnage, avec ce bon vieux pourri d’Orcus Morrigan. Et invariablement, la même question qu’on me pose depuis bientôt cinq ans : à quand la suite ?
Eh bien, confinées, confinés, il se pourrait fort qu’elle arrive… lundi.
JE VOUS PROPOSE EN EFFET LA PUBLICATION JOURNALIÈRE D’UNE AVENTURE INÉDITE D’ORCUS MORRIGAN (oui, j’avais envie de crier, pardon).
Le principe en est simple : renouant avec la tradition du roman-feuilleton, j’envisage d’écrire en direct la suite des pérégrinations de notre faisandé préféré. Tous les soirs, sur mon blog, un nouveau chapitre.
La contrainte est simple : il n’y en a aucune. Sauf celles consistant à écrire chaque jour pendant une durée d’une heure, et à terminer sur un cliffhanger, afin de vous donner envie de lire la suite le lendemain.
Je ne m’impose rien d’autre : ni longueur préétablie, ni exigence stylistique insurmontable, ni rigueur narrative exacerbée. Juste ça : une heure d’écriture journalière, que je vous livre dans la foulée.
L’intrigue ? J’ai juste un point de départ, tout bête, et lié à l’actualité. Mais là encore, je m’interdis de construire un synopsis. Pourquoi ne pas me surprendre moi-même et écrire l’histoire au fil de l’eau, avec vos propres commentaires qui pourront m’influencer ?
Alors, ça vous tente ?
Bon, il y a quand même une obligation : c’est avec grand plaisir que j’envisagerais de me lancer dans cette aventure avec vous, mais c’est quand même du travail supplémentaire, et il faut que je sois sûr d’être un minimum suivi. Aussi, je vous demanderai, si vous êtes certain de suivre ce roman-feuilleton, de laisser un petit like sur la publication de ma page Facebook Maxime Gillio / Max Deloy. Dimanche soir, je relève les compteurs. Soit mon ego en prend un coup, et je remise mon projet dans mon caleçon, soit on atteint un nombre raisonnable de pouces levés, et je vous promets le premier chapitre pour lundi, en début de soirée.
Chiche ?
A vous de jouer maintenant, et si vous n’êtes pas à un like près, n’hésitez pas à jaimer la page d’Orcus Morrigan, inactive depuis quatre ans. Ça lui donnera peut-être envie de sortir de son tombeau : https://www.facebook.com/omorrigan/
Illustration : Giuseppe Manunta