À l’occasion de la Saint-Valentin – fête honnie s’il en est – les eXquisMen et l’eXquise édition sont heureux de vous offrir un recueil de nouvelles inédites et entièrement gratuites. Oui, oui, gratuites ! On est comme ça, nous.
Au départ, il y a le surprenant Ludovic Bisot (mâtin ! Quelle plume !) qui avait écrit quelques nouvelles décalées sur ce thème saintvalentinesque. Ne sachant qu’en faire – à part les offrir –, il nous a demandé conseil. Et là, de mère en fille et de fil en aiguille, l’idée est venue de solliciter quelques-uns de nos contacts pour les mettre à contribution afin d’offrir un recueil décalé, féroce, tendre, potache, poétique… Bref, un cadeau original et de qualité pour la Saint-Valentin.
Il m’était moi-même difficile de ne pas offrir un texte, l’entreprise étant chapeautée par les eXquisMen. Mais dites, la Saint-Valentin, hein ! Il m’est alors revenu cette envie qui me tiraillait depuis longtemps d’écrire une nouvelle sur le groupe Il était une fois, et plus particulièrement sur sa chanteuse à la beauté solaire, Joëlle, disparue bien trop tôt.
Oui, je suis né en 1975, l’année de l’inoubliable « J’ai encore rêvé d’elle »…
L’occasion était belle de remettre les mains dans le cambouis et de me frotter à un genre que je n’avais encore jamais abordé, la nouvelle sentimentale.
Vi, vi, z’avez bien lu : le père de Virginia Valmain qui tente une bluette sans calembour et en mettant son cœur à nu.
C’est maintenant qu’il me faut adresser un remerciement sincère et admiratif à celle qu’on surnomme Merveille-de-l’Univers, Armèle Malavallon-Carlier. Dès le départ, c’est à elle qu’a incombé la tâche ô combien difficile et ingrate de sélectionner les textes, d’en refuser parfois, de les faire retravailler. Exigence, patience, fermeté et courtoisie au rendez-vous.
En ce qui concerne ma nouvelle, son apport fut essentiel, vital.
Vous jugerez ou non de la qualité de ma production, mais le résultat lui doit tout. Elle a su pointer du doigt les trop nombreux défauts de mon premier essai, suggérer avec bienveillance les coupes nécessaires, me botter le cul – avec un brin de perversité salace – pour que, de moi-même, je réagisse et m’oblige à reprendre encore et encore ce texte mal dégrossi. Mais plus que tout, elle a réveillé en moi un devoir d’exigence que j’avais trop mis en sommeil.
Merci Armèle.
Alors pour finir en chanson, et… « en attendant la Saint-Valentin » :
Joëlle, Armèle, sont des mots qui vont très bien ensemble.
Les filles, je vous embrasse.
Le recueil est téléchargeable ici : http://www.exquismen.com/boutique/