VOX POPULI VOX DEI
Le nombre de likes que je m’étais secrètement fixé ayant été atteint au bout de quatre heures, je ne peux que me plier avec grâce à votre demande. Alors qu’on se le dise :
ORCUS MORRIGAN IS BACK !
Quelques rappels au préalable :
– Les chapitres seront publiés ici, et je vous collerai le lien journalier sur ma page Facebook Maxime Gillio/Max Deloy ;
– Exception faite du point de départ qui tient en une ligne, je n’ai encore aucune idée de ce que je vais raconter, et je m’interdis d’y réfléchir en amont (Marcel) ;
– J’y consacre une heure par jour, plus une seule relecture du premier jet, avant mise en ligne. Autrement dit, la livraison quotidienne peut être de deux paragraphes comme de trois pages, tout dépend de la qualité de ma sieste ;
– Mise en ligne si possible à l’heure de l’apéro, car c’est bien ce dont il s’agit avant tout : rien d’autre qu’un simple moment de rigolade et de partage, en ces temps pas marrants pour tout le monde ;
– Vous excuserez par avance les approximations, facilités et autres inévitables maladresses, mais en une heure d’écriture, on fait rarement des miracles. Et comme dirait Mizou-Mizou : « yé souis pas oune machine ! » ;
– Bien évidemment, JE VEUX que vous participiez, commentiez, interagissiez. Il ne s’agit pas de faire une œuvre littéraire (ça se saurait…), mais bien de trinquer virtuellement tous les soirs, autour de ce vieux pourri d’Orcus. À défaut des Curly et du Picon, j’apporte le Faisandé, venez avec vos commentaires.
Dernier rappel, mais il est de mise : le personnage d’Orcus Morrigan a été imaginé par Stanislas Petrosky.
Rendez-vous demain soir.