Maxime Gillio
Photo : Astrid di Crollalanza
Maxime Gillio a débuté sa vie professionnelle dans l’enseignement (prof de français, évidemment…) avant de rendre son tablier au bout de douze années de sacerdoce.
Désormais romancier et directeur de collection, pas moyen de quitter les lettres.
Il a longtemps privilégié le polar avant de passer à la saga historique, avec un détour par le roman feel good, quelques incartades du côté du scénario de BD, et il semble s’être installé durablement en littérature jeunesse depuis maintenant quatre ans.
Il ne faut jamais lui proposer un nouveau projet, sous peine de le voir aussitôt accepter. D’aucuns diraient qu’il est faible et ne sait pas dire non. Il préfère répondre qu’il a l’intention de mourir riche de ses expériences. Mais le plus tard possible.